Cette
randonnée, nous l'avons déjà faite en 2011. Comme elle nous avait plus,
nous l'avons remise sur notre programme pour
cette année. Nous avons prévu de la rallonger et d'aller jusqu'à la
plage de Saleccia puis de rentrer avec la navette maritime. Mais nous
sommes dimanche et nous nous attendions pas à une telle
affluence des bateaux dans toutes les criques.
RENSEIGNEMENTS SUR CETTE RANDONNEE :
Carte Bastia Golfe de St-Florent 4348 OT
Difficultés : Aucune par terrain sec et bonne météo. Il est indispensable d'emporter beaucoup d'eau.
Accès voiture : Nous n'avons pas pris notre véhicule et nous sommes partis directement du camping.
Départ : Du camping Kalliste.
Nous
sommes partis directement du camping Kalliste ce qui nous a évités de
prendre notre véhicule. Nous avons remonté toute
la plage de la Roya et rattrapé le départ officiel du sentier. Les
paysages tout au long du sentier sont toujours aussi beaux. Pour voir le
circuit de l'année dernier et plus d'images un clic sur
la chaussure ci-dessous.
Nous avançons rapidement et apercevons rapidement la pointe de Mortella avec sa tour génoise.
Contrairement à l'année dernière, nous avons contourné la tour Mortella.
Elle est vraiment superbe.
Nous continuons notre randonnée et remontons vers l'ancien sémaphore, nous apercevons le phare de la pointe Mortella.
Il faut noter que cette année le balisage a été refait sur ce sentier du littoral et ce n'est un luxe. En 2011 sur des intersections, le balisage était fait sur des feuilles de papier protégées sous un plastique. Aujourd'hui le balisage est fait avec des poteaux en fer en forme de U, d'autres en bois avec des plaquettes directionnelles et quelques fléchages gravés sur des bornes en pierre.
A proximité de la plage du Loto, nous sommes surpris par la présence de dizaines et dizaines de bateaux.
Devant tout ce monde, nous décidons arrêter notre randonnée pour chercher un endroit tranquille. Nous avons réussi à dénicher une petite crique isolée où nous avons mangé et pu profiter de la mer et du soleil. Puis nous choisissons de rentrer à pied, car nous n'avons pas réservé notre passage en bateau et nous n'avons pas envie de retourner dans la foule.
Nous n'avons pas croisé beaucoup de randonneurs, quelques vététistes.
Ici l'ancien sémaphore.
Depuis notre passage du matin, des criques vides se sont remplies d'embarcations.
Une particularité cette année est la présence de véritable champ d’herbes qui recouvre sur un mètre à un mètre cinquante d'épaisseur pratiquement toutes les plages corses*. Des feuilles mortes de posidonies par milliers qui envahissent le sable, poussées par un vent et les coups de mer à répétition de ces deniers jours. Ces banquettes de posidonies, comme on les appelle, sur les plages en hiver jouent un double rôle. Elles offrent un abri et une vie à tout un microcosme naturel primordial, mais elles jouent surtout un rôle de rempart contre l’érosion des plages en permettant le maintien du sable. Lors des tempêtes, la mer qui monte attaque le tas de feuilles sans entamer la couche de sable. L’idéal serait de le laisser le plus longtemps possible. Mais cette matière organique en putréfaction n’est pas biodégradable, ni valorisable et finit par poser des problèmes de pollution spatiale, visuelle et olfactive.
Nous avançons rapidement et apercevons rapidement la pointe de Mortella avec sa tour génoise.
Contrairement à l'année dernière, nous avons contourné la tour Mortella.
Elle est vraiment superbe.
Nous continuons notre randonnée et remontons vers l'ancien sémaphore, nous apercevons le phare de la pointe Mortella.
Il faut noter que cette année le balisage a été refait sur ce sentier du littoral et ce n'est un luxe. En 2011 sur des intersections, le balisage était fait sur des feuilles de papier protégées sous un plastique. Aujourd'hui le balisage est fait avec des poteaux en fer en forme de U, d'autres en bois avec des plaquettes directionnelles et quelques fléchages gravés sur des bornes en pierre.
A proximité de la plage du Loto, nous sommes surpris par la présence de dizaines et dizaines de bateaux.
Devant tout ce monde, nous décidons arrêter notre randonnée pour chercher un endroit tranquille. Nous avons réussi à dénicher une petite crique isolée où nous avons mangé et pu profiter de la mer et du soleil. Puis nous choisissons de rentrer à pied, car nous n'avons pas réservé notre passage en bateau et nous n'avons pas envie de retourner dans la foule.
Nous n'avons pas croisé beaucoup de randonneurs, quelques vététistes.
Ici l'ancien sémaphore.
Depuis notre passage du matin, des criques vides se sont remplies d'embarcations.
Une particularité cette année est la présence de véritable champ d’herbes qui recouvre sur un mètre à un mètre cinquante d'épaisseur pratiquement toutes les plages corses*. Des feuilles mortes de posidonies par milliers qui envahissent le sable, poussées par un vent et les coups de mer à répétition de ces deniers jours. Ces banquettes de posidonies, comme on les appelle, sur les plages en hiver jouent un double rôle. Elles offrent un abri et une vie à tout un microcosme naturel primordial, mais elles jouent surtout un rôle de rempart contre l’érosion des plages en permettant le maintien du sable. Lors des tempêtes, la mer qui monte attaque le tas de feuilles sans entamer la couche de sable. L’idéal serait de le laisser le plus longtemps possible. Mais cette matière organique en putréfaction n’est pas biodégradable, ni valorisable et finit par poser des problèmes de pollution spatiale, visuelle et olfactive.
* Pas toutes les plages, nous avons pu constater que les plages à proximité de certaines zones résidentielles sont nettoyées
quotidiennement…
Comme l'année dernière, nous n'avons pas été déçus par cette superbe sortie. Nous avons passé une excellente journée, cette randonnée est vraiment un incontournable et nous la recommandons... Sauf le dimanche !
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