La fin de notre séjour approche et nous ne sommes pas rassasiés de randonnées. Nous décidons d'aller du côté de Saint Gilles Les Bains et pour découvrir une boucle sur les hauts de Saint Gilles au niveau du golf de Bassin Bleu.
Une boucle à l'Éperon de la ravine de St Gilles au canal Bruniquel et le moulin Kader.
RENSEIGNEMENTS SUR CETTE RANDONNÉE :
Date : 02.12.2022
Dénivelés : Positifs 122m - Négatifs 125m.
Distance : 5,19 km
Durée totale : 01 heures 52 dont 00 minutes de pause
Météo : Soleil.
Niveau : Marcheur.
Balisage : Aucun.
Difficultés : Aucune par beau temps avec de bonnes conditions météo, de la visibilité.
Dénivelés : Positifs 122m - Négatifs 125m.
Distance : 5,19 km
Durée totale : 01 heures 52 dont 00 minutes de pause
Météo : Soleil.
Niveau : Marcheur.
Balisage : Aucun.
Difficultés : Aucune par beau temps avec de bonnes conditions météo, de la visibilité.
Départ : De l'aire covoiturage de l’Éperon.
La randonnée débute au parking de covoiturage.
Après s'être Stationnés, nous remontons l'aire de covoiturage en direction de la RN1.
Après avoir longés la route, nous prenons sur la droite le long de la RN 1.
Nous traversons une friche qui sépare de la profonde vallée de la Ravine Saint-Gilles.
On parvient au pont qui enjambe la ravine, en traversant bien sûr quelques dépôts sauvages, nous empruntons l'escalier qui descend vers la ravine.
Aucun balisage, nous suivons le passage le mieux marqué au sol et encadré de bouteilles en plastiques.
Après s'être Stationnés, nous remontons l'aire de covoiturage en direction de la RN1.
Après avoir longés la route, nous prenons sur la droite le long de la RN 1.
Nous traversons une friche qui sépare de la profonde vallée de la Ravine Saint-Gilles.
On parvient au pont qui enjambe la ravine, en traversant bien sûr quelques dépôts sauvages, nous empruntons l'escalier qui descend vers la ravine.
Aucun balisage, nous suivons le passage le mieux marqué au sol et encadré de bouteilles en plastiques.
Nous passons sous le pont bétonné, descendons au fond de la ravine où il n'y a pas d'eau, la traversée est une balade sur le fond basaltique couvert de grosses roches.
Nous remontons de l'autre côté de la ravine et prenons sur la droite.
Nous retrouvons un beau sentier en terre battue que nous suivons à travers les chocas, les épineux et les premiers tamarins. De temps en temps, nous suivons des flèches bleu mais sans trop de conviction sur l'itinéraire qu'elles proposent.
La végétation est variée mais très sèche.
Dans quelques trouées, nous apercevons la côte.
Nous retrouvons un beau sentier en terre battue que nous suivons à travers les chocas, les épineux et les premiers tamarins. De temps en temps, nous suivons des flèches bleu mais sans trop de conviction sur l'itinéraire qu'elles proposent.
La végétation est variée mais très sèche.
Dans quelques trouées, nous apercevons la côte.
On parvient à un premier point de vue.
Nous dominons la ravine Saint-Gilles et les Bassins Malheur et des Aigrettes avec leurs cascades.
Cette ravine nous l'avons remontée lors d'une randonnée "Les Trois Bassins" que nous avons faite le 11 avril 2022.
Nous continuons notre progression en observant quelques eucalyptus qui tranchent avec le paysage classique, nous parvenons à un deuxième petit belvédère.
Ce nid d'aigle nous permet de dominer la rivière et de profiter de la chute des Aigrettes. Nous devinons le chemin que nous avions emprunté pour remonter la ravine.
Nous rencontrons plusieurs fois des embranchements avec plusieurs "balisages" une fois jaune, une fois bleu, nous n'en tenons compte et nous prenons toujours à droite.
On atteignons les premiers vestiges du canal de transport de l'eau qui domine le Bassin des Cormorans.
Plus loin, le canal est toujours en eau mais stagnante où les lentilles d'eau recouvrent tout. Certaines portions sont encore en bon état même si l'eau ne pourrait y rester.
Le sentier est toujours correct au milieu des plantes.
On domine Saint-Gilles et la mer à plusieurs reprises.
(Faire un clic sur la photo ci-dessous pour l'agrandir)
Le sentier poursuit sa boucle en longeant le canal qu'on quittera bientôt.
Cette ravine nous l'avons remontée lors d'une randonnée "Les Trois Bassins" que nous avons faite le 11 avril 2022.
Nous continuons notre progression en observant quelques eucalyptus qui tranchent avec le paysage classique, nous parvenons à un deuxième petit belvédère.
Ce nid d'aigle nous permet de dominer la rivière et de profiter de la chute des Aigrettes. Nous devinons le chemin que nous avions emprunté pour remonter la ravine.
Nous rencontrons plusieurs fois des embranchements avec plusieurs "balisages" une fois jaune, une fois bleu, nous n'en tenons compte et nous prenons toujours à droite.
On atteignons les premiers vestiges du canal de transport de l'eau qui domine le Bassin des Cormorans.
Plus loin, le canal est toujours en eau mais stagnante où les lentilles d'eau recouvrent tout. Certaines portions sont encore en bon état même si l'eau ne pourrait y rester.
Le sentier est toujours correct au milieu des plantes.
On domine Saint-Gilles et la mer à plusieurs reprises.
(Faire un clic sur la photo ci-dessous pour l'agrandir)
Le sentier poursuit sa boucle en longeant le canal qu'on quittera bientôt.
Le balisage est toujours farfelu dommage qu'il ne soit pas rafraîchi.
On parvient à une piste qu'on emprunte en remontant vers la droite sur un sol caillouteux.
La piste commence à descendre dans les épineux en direction de la station de pompage qu'on aperçoit plus bas dans le bois.
On parvient à une piste qu'on emprunte en remontant vers la droite sur un sol caillouteux.
La piste commence à descendre dans les épineux en direction de la station de pompage qu'on aperçoit plus bas dans le bois.
Sur la mouvement de terrain face à nous, il y a de nombreuses cultures.
Pour rejoindre le petit bâtiment, il faut partir sur la piste de droite.
Pour rejoindre le petit bâtiment, il faut partir sur la piste de droite.
Au bas de la piste, nous tournons à gauche au premier embranchement en direction de la station de pompage.
Le batiment commence vraiment à être envahi par la végétation.
Le local abrite encore les moteurs et les pompes dans leur jus.
Nous faisons le tour du batiment.
Le faux Moulin Kader
Ce que l'on a pris longtemps pour le Moulin Kader n'est en réalité que la station de pompage qui permettait de transporter l'eau du Canal Bruniquel à l'usine sucrière de Vue Belle. Les ruines du vrai moulin Kader se situent à environ deux cents mètres de là, derrière une clôture en fil de fer barbelé. Il doit son nom à la plante qu'il était chargé de broyer pour en faire de la ficelle (kader, choca, aloes, alouasse) qui n'est autre que le choca vert (Furcraea foetidia) qui a tellement envahi depuis toutes les campagnes jusqu'à devenir une peste végétale. Il y a moins d'un siècle on comptait une douzaine de moulins Kader dans l'île. Tous en ruine ou disparus comme les sucreries. La station de pompage proche du Moulin Kader de Saint Gilles mérite donc une visite, au moins pour en connaître l'existence mais également pour en savoir plus sur cette artisanat particulier qui consistait à broyer des feuilles de choca pour n'en récupérer que la fibre qui séchée et enroulée, permettait d'obtenir des cordes longues et solides. C'est principalement entre 1850 et 1950 que cette petite industrie a été la plus florissante.
Nous repartons en suivant un beau sentier étroit qui remonte en pente douce dans la savane.
Nous découvrons des fléchages qui nous laissent perplexes. De nombreuses couleurs et directions mais qui mènent à rien ???
Plus haut, la pente s'accentue un peu et les cailloux se multiplient. On commence par entendre de plus en plus les véhicules fonçant sur la voie rapide puis l'on s'approche du pont qui enjambe un large talweg.
Le batiment commence vraiment à être envahi par la végétation.
Le local abrite encore les moteurs et les pompes dans leur jus.
Nous faisons le tour du batiment.
Le faux Moulin Kader
Ce que l'on a pris longtemps pour le Moulin Kader n'est en réalité que la station de pompage qui permettait de transporter l'eau du Canal Bruniquel à l'usine sucrière de Vue Belle. Les ruines du vrai moulin Kader se situent à environ deux cents mètres de là, derrière une clôture en fil de fer barbelé. Il doit son nom à la plante qu'il était chargé de broyer pour en faire de la ficelle (kader, choca, aloes, alouasse) qui n'est autre que le choca vert (Furcraea foetidia) qui a tellement envahi depuis toutes les campagnes jusqu'à devenir une peste végétale. Il y a moins d'un siècle on comptait une douzaine de moulins Kader dans l'île. Tous en ruine ou disparus comme les sucreries. La station de pompage proche du Moulin Kader de Saint Gilles mérite donc une visite, au moins pour en connaître l'existence mais également pour en savoir plus sur cette artisanat particulier qui consistait à broyer des feuilles de choca pour n'en récupérer que la fibre qui séchée et enroulée, permettait d'obtenir des cordes longues et solides. C'est principalement entre 1850 et 1950 que cette petite industrie a été la plus florissante.
Nous repartons en suivant un beau sentier étroit qui remonte en pente douce dans la savane.
Nous découvrons des fléchages qui nous laissent perplexes. De nombreuses couleurs et directions mais qui mènent à rien ???
Plus haut, la pente s'accentue un peu et les cailloux se multiplient. On commence par entendre de plus en plus les véhicules fonçant sur la voie rapide puis l'on s'approche du pont qui enjambe un large talweg.
Le sentier se termine à une piste, nous partons sur la gauche, passons sous le pont et poursuivons sur la piste qui oblique sur la gauche.
La piste se poursuit tout droit mais nous empruntons le sentier qui remonte en partant sur la droite. Nous cheminons au milieu de tamarins. Nous ignorons les sentiers remontant à droite vers le Golf du Bassin Bleu.
La piste se poursuit tout droit mais nous empruntons le sentier qui remonte en partant sur la droite. Nous cheminons au milieu de tamarins. Nous ignorons les sentiers remontant à droite vers le Golf du Bassin Bleu.
Nous logeons des grillages qui séparent la brousse du golf. Le parcours oblique vers la gauche à travers de grandes concentrations de chocas bleus. La fin du parcours s'effectue dans cette savane qu'on n'aura jamais quittée, au milieu des épineux et des herbes jaunies et qui nous interdisent de faire des photos.
Dés que nous sortons en terrain découvert, nous avons des vues sur les Hauts de Saint-Gilles et l’Éperon.
Le pont et la Ravine Saint-Gilles se rejoignent par de multiples sentiers. Prendre le chemin inverse à celui du départ pour terminer la boucle.
Dés que nous sortons en terrain découvert, nous avons des vues sur les Hauts de Saint-Gilles et l’Éperon.
Le pont et la Ravine Saint-Gilles se rejoignent par de multiples sentiers. Prendre le chemin inverse à celui du départ pour terminer la boucle.
Nous avons terminé notre journée par une balade au port de Saint-Gilles-les-Bains que nous connaissons car nous avons fait une sortie en mer en catamaran en avril dernier. Par contre nous reviendrons à Saint Gilles pour visiter et découvrir la ville lors d’un prochain séjour.
Cette sortie dans la savane, dans les Hauts de Saint-Gilles est facile et peut être pratiquée en famille. C'est plus une grosse promenade qu'une randonnée. De beaux points de vue sur l'océan, Saint Gilles et les bassins dans la ravine du même nom. Idéale en récupération après une grosse rando ou pour faire un footing. Le soleil peut taper fort, privilégier tôt le matin ou fin de journée.
Cette sortie dans la savane, dans les Hauts de Saint-Gilles est facile et peut être pratiquée en famille. C'est plus une grosse promenade qu'une randonnée. De beaux points de vue sur l'océan, Saint Gilles et les bassins dans la ravine du même nom. Idéale en récupération après une grosse rando ou pour faire un footing. Le soleil peut taper fort, privilégier tôt le matin ou fin de journée.
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