Dernière
étape de notre tour de Corse, Ajaccio et ses environs. Cette étape
était prévue sur notre programme le jour de notre
arrivée en Corse, mais nous avions préféré monter directement à
Porto. La météo n'a pas évolué durant la nuit, pluie et vent sont
toujours bien présents. Direction les quatre îles Sanguinaires et
la pointe de la Parata.
Au sommet de la pointe de la Parata, une tour génoise veille sur les côtes depuis 1608. Elle fait face au phare de Mezzu Mare construit en 1844 qui signale l'entrée dans le golfe d'Ajaccio. Aujourd'hui nous avons un spectacle digne des tempêtes bretonnes à voir sur le diaporama en faisant un clic : ICI
La tour génoise de la pointe de la Parata.
De la pointe de la Parata, nous sommes partis visiter le centre ville. Véritable cité maritime, Ajaccio a son hôtel de ville qui donne directement sur les quais.
Sur la même place des palmiers où se trouve l'hôtel de ville, la statue de Napoléon 1er, en toge romaine et couronnée de laurier, dominant une fontaine gardée par quatre lions.
En remontant au-dessus de la place, les rues sont étroites mais chacune a son cachet.
La cathédrale Notre-Dame-de-l'assomption est un édifice baroque inauguré en 1593, Napoléon Bonaparte y fut baptisé en 1771.
Puis on a remonté la rue Fesch.
Où nous avons visité la bibliothèque avec sa salle de lecture de 30 m de long où les étagères contiennent 40 000 ouvrages du XVe au XIVe siècle.
Après avoir arpenté toute la ville dans un sens puis dans l'autre nous sommes partis au port pour procéder à notre embarquement à bord du Jean Nicoli de la SNCM.
L'embarquement est prévu à 17H30 pour un apparaillage à 19H00. Contrairement au départ, il ne faut pas se présenter trop tôt car on ne peut pas rentrer dans le port et le stationnement est payant à l'extérieur. A l'heure prévue, les barrières du port s'ouvrent, le contrôle ainsi que l'enregistrement se font dans la file des véhicules et nous rentrons dans le ventre du Jean Nicoli. Les bateaux que nous avons pris, à l'aller comme au retour, sont en bon état ainsi que les cabines spacieuses et confortables (tv, cabinet de toilette, douche...).
En sortant sur le pont, nous constatons que la météo ne s'est pas améliorée. Conséquences directes, l'appareillage est repoussé de deux heures par le capitaine afin d'attendre que la mer se calme un peu ainsi que le vent.
Notre traversée en direction de Marseille a été sportive, la mer nous a ballottés, frappés, remués dans tout les sens et nous sommes arrivés avec une heure de retard à 08H00 à quai. Puis direction Pau par le même itinéraire et dans les mêmes conditions qu'à aller.
Au sommet de la pointe de la Parata, une tour génoise veille sur les côtes depuis 1608. Elle fait face au phare de Mezzu Mare construit en 1844 qui signale l'entrée dans le golfe d'Ajaccio. Aujourd'hui nous avons un spectacle digne des tempêtes bretonnes à voir sur le diaporama en faisant un clic : ICI
La tour génoise de la pointe de la Parata.
De la pointe de la Parata, nous sommes partis visiter le centre ville. Véritable cité maritime, Ajaccio a son hôtel de ville qui donne directement sur les quais.
Sur la même place des palmiers où se trouve l'hôtel de ville, la statue de Napoléon 1er, en toge romaine et couronnée de laurier, dominant une fontaine gardée par quatre lions.
En remontant au-dessus de la place, les rues sont étroites mais chacune a son cachet.
La cathédrale Notre-Dame-de-l'assomption est un édifice baroque inauguré en 1593, Napoléon Bonaparte y fut baptisé en 1771.
Puis on a remonté la rue Fesch.
Où nous avons visité la bibliothèque avec sa salle de lecture de 30 m de long où les étagères contiennent 40 000 ouvrages du XVe au XIVe siècle.
Après avoir arpenté toute la ville dans un sens puis dans l'autre nous sommes partis au port pour procéder à notre embarquement à bord du Jean Nicoli de la SNCM.
L'embarquement est prévu à 17H30 pour un apparaillage à 19H00. Contrairement au départ, il ne faut pas se présenter trop tôt car on ne peut pas rentrer dans le port et le stationnement est payant à l'extérieur. A l'heure prévue, les barrières du port s'ouvrent, le contrôle ainsi que l'enregistrement se font dans la file des véhicules et nous rentrons dans le ventre du Jean Nicoli. Les bateaux que nous avons pris, à l'aller comme au retour, sont en bon état ainsi que les cabines spacieuses et confortables (tv, cabinet de toilette, douche...).
En sortant sur le pont, nous constatons que la météo ne s'est pas améliorée. Conséquences directes, l'appareillage est repoussé de deux heures par le capitaine afin d'attendre que la mer se calme un peu ainsi que le vent.
Notre traversée en direction de Marseille a été sportive, la mer nous a ballottés, frappés, remués dans tout les sens et nous sommes arrivés avec une heure de retard à 08H00 à quai. Puis direction Pau par le même itinéraire et dans les mêmes conditions qu'à aller.
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