Notre nuit à Rocamadour (46) a été calme dans le camping "le Roc" ***. Nous repartons pour une nouvelle et longue étape sur les routes du Lot. Notre premier arrêt n'est pas loin, direction le gouffre de Padirac pour la visite du premier site souterrain français.
Le gouffre de Padirac est ouvert uniquement de fin mars (24 mars en 2018) à début novembre. Il
est ouvert tous les jours mais les horaires peuvent variés, il est conseillé de vérifier sur leur site.
Prévoir des chaussures fermées et des vêtements chauds qui ne craignent pas trop l’eau car les gouttes sont fréquentes. Sous terre, il fait environ 13°C toute l’année, pour 98% d’humidité. Le tarif de la visite est de 13,50€ pour les adultes et 9,50€ pour les enfants. Nous ne savions pas si il fallait réserver à l'avance l'entrée dans le site mais après un coup de téléphone, nous sommes rassurés, en ce début de saison les réservations ne sont pas utiles.
Prévoir des chaussures fermées et des vêtements chauds qui ne craignent pas trop l’eau car les gouttes sont fréquentes. Sous terre, il fait environ 13°C toute l’année, pour 98% d’humidité. Le tarif de la visite est de 13,50€ pour les adultes et 9,50€ pour les enfants. Nous ne savions pas si il fallait réserver à l'avance l'entrée dans le site mais après un coup de téléphone, nous sommes rassurés, en ce début de saison les réservations ne sont pas utiles.
Avant même de prendre les billets, on aperçoit un énorme trou (le gouffre) d’une trentaine de mètres de diamètre, il plonge à plus de 75 mètres.
Nous passons d'abord à la caisse pour prendre les tickets d’accès puis nous reprenons une autre file d'attente où nous percevons des écouteurs qui nous guideront au cours de la visite. L'attente dans les files d'attente ne sont pas trop longues.
La descente dans les entrailles du gouffre peut se faire par un ascenseur ou à pied. Nous choisissons de prendre les escaliers.
Padirac signifie "le pas du diable" en occitan. La légende racontait à
l’époque que c’était le diable qui l’aurait formé d’un coup de talon !
En 1899 a lieu l’inauguration du gouffre avec la première ouverture au
public. Le gouffre a été exploré pour la première fois en 1889, à l’aide d’une échelle de corde. C’est Edouard-Alfred Martel, l’inventeur de la spéléologie moderne, qui s’y est aventuré le premier.
L'arrivée au fond du gouffre.
Il faut encore descendre quelques marches pour arriver à 100 mètres de profondeur. C’est alors que débute la visite libre sur plusieurs centaines de mètres à travers la grotte. L’ambiance est mystérieuse mais les lumières devraient rassurer les plus claustrophobes.
Au bout, on arrive à une rivière souterraine large de plusieurs mètres et longue de 20 kilomètres. La rivière est située à 103 mètres sous terre. La traversée de la rivière souterraine se fait en barque sur environ un kilomètre. Commence alors une visite à travers les galeries du gouffre. On passe par le lac des gours et le lac supérieur qui est situé dans la salle du Grand dôme, dont la voûte atteint 90 mètres de haut.
Le retour se fait également en une barque avant de remonter à la surface.
Sur le plancher des vaches, après un peu plus d’une heure trente de visite, nous reprenons notre camion et direction notre dernière étape de la journée : Saint Cirq-Lapopie. Dés notre arrivée, nous allons garer le camion sur l’aire camping-car municipale, idéalement située sur la rive de Lot et au pied du village.
Le village jouit d’un emplacement spectaculaire. Le village et ses petites maisons en pierre surplombent la vallée du Lot du haut de leur immense falaise. Son caractère insolite a permis à Saint Cirq-Lapopie de recevoir de nombreuses distinctions : il est classé parmi les plus beaux villages de France et a été élu village préféré des Français en 2012.
Il est tôt dans l'après-midi, nous décidons d'aller visiter Saint Cirq-Lapopie. Nous partons à pied depuis l'aire de camping-car en longeant le Lot en direction du village.
Puis nous quittons le chemin de halage et montons au village par un chemin bien balisé.
Il faut encore descendre quelques marches pour arriver à 100 mètres de profondeur. C’est alors que débute la visite libre sur plusieurs centaines de mètres à travers la grotte. L’ambiance est mystérieuse mais les lumières devraient rassurer les plus claustrophobes.
Le retour se fait également en une barque avant de remonter à la surface.
Sur le plancher des vaches, après un peu plus d’une heure trente de visite, nous reprenons notre camion et direction notre dernière étape de la journée : Saint Cirq-Lapopie. Dés notre arrivée, nous allons garer le camion sur l’aire camping-car municipale, idéalement située sur la rive de Lot et au pied du village.
L'aire C.C. est propre, les emplacements sont grands, elle a répondu à nos attentes.
Il est tôt dans l'après-midi, nous décidons d'aller visiter Saint Cirq-Lapopie. Nous partons à pied depuis l'aire de camping-car en longeant le Lot en direction du village.
Puis nous quittons le chemin de halage et montons au village par un chemin bien balisé.
Le village est composé de plusieurs petites ruelles escarpées construites pour la plupart en pente.
Les maisons et murs de pierre sont magnifiques, surtout lorsqu’ils sont recouverts de fleurs. Les toits pointus des maisons médiévales sont recouverts de tuiles plates.
Nous repérons le sommet du village "le belvédère".
Nous nous y rendons pour profiter du panorama depuis ce nid d'aigle perché sur la falaise dominant les méandres du Lot, situés presque 100 mètres plus bas. L’église de Saint Cirq-Lapopie et les maisons apparaissent à l’arrière-plan.
Après avoir parcouru et profité de la visite des différentes ruelles du village, nous regagnons notre hébergement sur roues. Demain, changement d'orientation dans notre façon de voyager, nous allons découvrir en vélo le canal du midi.
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